Durant mes 8 années de collaboration avec Simon, j’ai découvert non seulement le pénaliste talentueux, mais aussi et surtout un avocat profondément engagé, doté de grandes qualités humaines.

Le combat de Simon, c’est d’abord une détermination sans faille pour défendre les injustices, et ce depuis le début de sa carrière.

Son engagement, il le mène aussi tous les jours, dans son cercle rapproché. Malgré une rigueur importante, il permet à ses collaborateurs-trices de concilier vie de famille et vie professionnelle. Par exemple, lors de mon retour à l’Étude après mon congé maternité, Simon m’a soutenue en jouant un rôle proactif dans l’organisation d’un nouveau mode de travail, combinant une reprise à temps partiel et des horaires flexibles.

Aujourd’hui, Simon est candidat pour le Vice Bâtonnat, poste clé de la défense des intérêts de ses Consœurs et Confrères. Je ne peux que m’engager à ses côtés, convaincue que son intégrité, son engagement et sa force de travail feront progresser la profession d’avocat vers un horizon nouveau qu’il incarne déjà.

Travailler avec Simon, c’est être témoin du fait qu’un avocat peut combiner une carrière enrichissante à ses passions personnelles. Allier procès médiatiques et descentes à ski ou en VTT comme il le fait requiert toutefois une flexibilité du travail manquant parfois cruellement à notre profession. Simon met en avant des solutions novatrices pour adapter notre pratique juridique à ces nouveaux défis.

Je partage la vision de Simon quant à la flexibilité que peut offrir notre profession. La pandémie a accéléré nos modes de travail et nous a confirmé qu’il est possible d’exercer différemment. Aujourd’hui, des pratiques de travail plus souples sont devenues plus qu’une simple commodité ; c’est une nécessité. La conception de Simon permettra aux avocats de mieux concilier leur vie professionnelle, personnelle et familiale, tout en répondant aux besoins changeants de nos clients. Les propositions mises en avant par Simon ne favorisent pas seulement le bien-être des avocats, elles permettront aux études d’attirer plus de talents, tout en renforçant la diversité des équipes.

Sa vision audacieuse et son engagement témoignent de sa capacité à conduire notre profession vers un avenir plus dynamique et inclusif!

Simon a l’âme d’un coach! Durant ses études de droit et par la suite alors qu’il était avocat- stagiaire, puis collaborateur, Simon a dédié une grande partie de son temps libre à entrainer et soutenir de jeunes talents du football veyrite.

J’ai, moi aussi, pu bénéficier de ses conseils et de sa bienveillance, mais sur le terrain de l’avocature cette fois-ci. Simon a en quelque sorte été mon mentor, comme il l’a été pour de nombreux avocats et avocates-stagiaires, aujourd’hui pour la plupart devenus-es collaborateurs-trices ou même indépendants-es. Simon a marqué le parcours professionnel de plus d’un-une et son intérêts pour les jeunes générations d’avocats-es demeure intacte!

Il fait partie de ces personnes pour qui les rêves n’ont qu’une vocation, celle d’être un jour réalisés; rien n’est impossible pour celle ou celui qui s’en donne les moyens.

Conscient des biais qui peuvent imprégner nos décisions dans les divers aspects de la vie, Simon met un point d’honneur au respect de l’inclusivité et de l’égalité des chances. C’est ainsi que j’ai eu l’occasion de l’aider à réaliser le projet « Step In, Step Up » visant à donner l’opportunité à des étudiants-es en droit d’acquérir une première expérience professionnelle au sein d’une Etude d’avocat-es. Ceci n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

Aujourd’hui, je me réjouis que Simon s’engage, dans une plus vaste mesure encore, pour l’exemplarité de notre profession. Je suis absolument certaine que ses valeurs et sa détermination profiteront au rayonnement de notre profession, en particulier auprès des jeunes générations.

Comme membre d’une Etude d’avocats de taille moyenne, je fais face avec mes associés aux préoccupations que rencontrent nombre d’entre nous : gestion des liquidités d’une Etude, spécialisation de notre profession, difficultés à conserver les talents et concurrence croissante de fiduciaires et autres prestataires de services pour ne citer que certaines d’entre elles.

J’ai pu partager toutes ces préoccupations avec Simon quotidiennement durant des années. Alors que nous étions stagiaires, nous partagions alors nos premières expériences comme avocats commis d’office, collaborateurs dans des Etudes différentes, nous rêvions alors de créer un jour une Etude moderne dans laquelle nous insufflerions un brin de folie et, enfin, associés au sein d’Ochsner & Associés, nous avons eu la chance extraordinaire de participer ensemble au développement d’une Etude d’avocats et de mettre nos idées au défi de la pratique.

Durant tout ce parcours, Simon a toujours été le même : refus absolu de se reposer sur de quelconques acquis, volonté permanente de s’améliorer, goût prononcé pour l’innovation et sens désespérant de la contradiction.
Toutes ces qualités, je sais que Simon compte les mettre au profit de notre ordre et je crois que sa volonté de s’investir est constitutive d’une réelle chance pour nous, tant je sais que sa démarche est l’aboutissement d’une longue réflexion et qu’il aura à cœur de s’investir sans relâche pour la défense de nos intérêts.

J’ai connu Simon alors que nous endossions fraîchement la robe pour nos premiers petits pas dans les prétoires. Près de vingt ans plus tard, notre passion du métier en général et, en particulier, notre goût pour la défense, demeurent intacts. Au travers de tous les moments que nous avons eu la chance de partager (Comité du Jeune Barreau, se lancer comme indépendants, fonder une famille, joutes oratoires, etc.), j’ai pu découvrir son amour de l’être humain, son engagement pour ses clients et notre Ordre, son sens de l’adaptation, son esprit d’équipe, son leadership, ses talents de plaideur et son ouverture d’esprit. Souvent coéquipiers et parfois adversaires, la loyauté, le respect et l’appétence pour le débat d’idées ont toujours su guider nos pas.

J’ai donc naturellement décidé de lui accorder ma confiance pour le bâtonnat, dès lors qu’il véhicule selon moi nombre de valeurs fondamentales de notre profession, que son engagement est sincère, et que son programme est tourné vers l’avenir.

J’ai rencontré Simon sur les bancs de l’université et je le considère comme un ami très cher. Il avait donc naturellement mon soutien lorsqu’il m’a annoncé sa candidature au vice-bâtonnât. Ma conviction était forte car je retrouve en lui des valeurs qui me tiennent à cœur : considération, respect et bienveillance.

Dès le début de son stage, il s’est distingué par son talent en art oratoire, son engagement envers notre Ordre et son désir ardent de contribuer à son essor. Pendant une année passée ensemble au Comité du jeune barreau, j’ai pu apprécier son écoute attentive, une qualité essentielle pour un bâtonnier. Ce que certains pourraient interpréter comme de la timidité est en réalité une facette de la personnalité de Simon qui privilégie l’écoute et part du principe que chaque interlocuteur a quelque chose à apporter. Je suis pleinement convaincue par le programme que Simon souhaite mettre en œuvre, fruit d’une réflexion approfondie nourrie par ses expériences dans des cabinets de différentes tailles et ses années au Conseil de l’Ordre.

Ce programme se distingue par son courage à aborder des sujets modernes, parfois en rupture avec nos traditions, mais indispensables pour que notre profession se positionne en tant que précurseur et apporte un soutien accru à nos confrères face à leurs nombreuses difficultés. Je suis persuadée que Simon est capable de relever ce défi et de concrétiser l’ambition nécessaire à notre Ordre. Ce ne sont là que quelques-unes des raisons pour lesquelles il bénéficie de mon soutien inébranlable.

Simon a certainement été l’un des avocats de notre Barreau qui m’a le plus inspiré dans la volonté de s’engager pour la profession. Je l’ai connu d’abord dans les prétoires lorsque, étudiant, j’assistais à ses plaidoiries avec admiration. Nos chemins se sont ensuite croisés lorsqu’il était au Conseil de l’Ordre et que je siégeais au Comité du Jeune Barreau. En plus de voir un avocat qui me ressemblait, j’ai vu en Me Ntah une détermination et une réelle passion pour son métier.

J’ai ensuite eu la chance et l’honneur de connaître Simon personnellement. J’ai trouvé sous la robe d’avocat un homme certes déterminé mais surtout un père de famille attentionné, un ami fidèle et une personne curieuse toujours avide d’apprendre et toujours avide de discussions et d’échanges afin de confronter ses points de vues et ses certitudes dans l’objectif d’évoluer.

Je suis dès lors convaincu que s’il accède au poste de Vice-Batonnier, Me Ntah l’avocat saura mettre toute son expérience et sa détermination au service de notre profession mais, surtout, que Simon l’homme saura mettre toute son empathie, sa curiosité et sa capacité d’écoute au services des membres de notre Ordre.